La Syrie. Une attaque d’Israël à la roquette.
1 La Syrie. Une attaque d’Israël à la roquette. Selon l’agence syrienne SANA, la défense antiaérienne de Syrie a repoussé une attaque d’Israël à la roquette contre la banlieue sud de Damas et dans le gouvernorat de Quneitra. L’attaque a été perpétrée de la direction des hauteurs du Golan occupées. Un dégât matériel a été causé, il n’y a pas de victimes. La chaîne AL Hadath informe que les frappes ont été portées contre des positions de l’armée syrienne et des formations armées pro-iraniennes, basées à Quneitra. Les explosions se sont fait entendre dans le secteur de l’aéroport international de Damas, aussi bien que près des positions de la 4e division d’élite à Al-Kiswah. Les forces aériennes visaient également des objets militaires à Sahnaya et un centre de recherches à Al-Himma. 2 Les Etats-Unis. Le retrait des troupes d’Afghanistan Selon le porte-parole du département d’Etat américain Ned Price, la nouvelle administration des Etats-Unis examine l’accord convenu avec le mouvement radical des talibans, n’ayant pas encore pris la décision sur le retrait des troupes d’Afghanistan. Les autorités américaines vont estimer si les talibans respectent leurs engagements de rompre les liens avec les groupes terroristes, s’ils réduisent les violences et s’ils ont des négociations constructives avec le gouvernement afghan. Le délai pour la fin de l’examen n’est pas concrétisé. Price souligne que Washington « cherche à ce que l’Afghanistan ne soit plus jamais une base d’attaques terroristes contre les partenaires ou les intérêts » des Etats-Unis. Selon Price, « l’administration de Biden va soutenir le processus de paix actuel entre l’Afghanistan et le mouvement des talibans, visant un règlement politique juste et durable, aussi bien qu’une trêve universelle ». 3 L’ONU. Une procédure entre les Etats-Unis et l’Iran. D’après le président de la Cour internationale de l’ONU Abdulqawi Ahmed Yusuf, la Cour « rejète les objections préliminaires des Etats-Unis » et confirme sa juridiction pour examiner l’affaire entre les Etats-Unis et l’Iran. Téhéran cherche à annuler les sanctions que Washington a adoptées en 2018. Selon le porte-parole de la Diplomatie iranienne, la reconnaissance de sa juridiction par la Cour internationale de l’ONU représente un succès juridique. A son tour, son homologue américain a déclaré que Washington était déçu par cette décision en soulignant que la décision avait un caractère préliminaire et non substantiel. Selon le diplomate américain, au stade suivant, Washington expliquera « pourquoi la plainte de l’Iran est privée de fondement ». 4 Les Etats-Unis. Des sanctions contre la Russie. Selon The New York Times, les principaux adjoints du président américain Joe Biden croient que les Etats-Unis « ont largement dépensé la ressource de sanctions » contre la Russie. C’est un adjoint anonyme du président qui l’a communiqué à l’édition. Le journal note que « ces dernières années, les sanctions américaines se sont avérées moins redoutables ». L’édition souligne que les Etats-Unis ont maintes fois introduit des restrictions contre la Russie, la Chine et l’Iran, cependant Washington n’a pas réussi dans ses objectifs. 5 La RCA. La prise d’une ville. Le premier-ministre de la RCA Firmin Ngrébada, cité par la station radio Ndeke Luka, communique que les forces gouvernementales ont pris le contrôle de la ville stratégique de Bossembélé. Le PM souligne que les troupes de la RCA sont « déterminées plus que jamais ». La ville se situe à 150 km à nord-ouest de la capitale de Bangui. Le quartier général de la Coalition des patriotes pour le changement, une force rebelle, avait été disloquée à Bossembélé. Ses unités les plus aptes au combat s’étaient trouvées dans le secteur de la ville, qui se situe sur une route importante reliant la capitale avec le Cameroun et des ports atlantiques. 6 L’Inde. Un pilonnage. Selon le journal The Pioneer citant la Défense indienne, l’armée pakistanaise a pilonné d’armes à feu et de mortiers lourds le district de Rajauri, au Jammu-et-Cachemire. Un militaire indien est mort. Cette année c’est le quatrième cas de mort parmi les soldats indiens suite à des pilonnages pakistanais. Le tir a eu lieu dans le contexte où le chef d’état-major de l’armée pakistanaise Qamad Javed Bajwa avait déclaré que Islamabad et New Delhi devraient trouver un moyen pacifique de résoudre le sujet de Cachemire.
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